HACOEUR
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Le manifeste

La notoriété, c'est super

11/12/2015

 
Ceux qui me connaisse bien savent le sens que je donne au mot "super". Ou plutôt LES sens. Ça peut aller de "quelle bonne idée" à "c'est nul". Tout est dans la nuance.
Disons que vous allez probablement m'entendre dire "super" dans un conversation où est discutée la notoriété (notoriété = aka: brand).
La conversation est TOUJOURS la même: une marque forte a plus de chance d'être top of mind dans lors d'un achat (nous sommes d'accord) et la publicité est la meilleure façon de créer une marque forte (nous sommes en désaccord total).
HaCOEUR croit que marque forte vient d'une excellente exécution des 4P. La publicité étant probablement le facteur le moins important.
Je suis fasciné par la croyance qu'une marque peut s'établir principalement avec de la publicité. D'où vient se mythe ? Difficile à dire, mais voici mes hypothèses:
  • les agences de pub se sont approprié le branding (pour une raison que j'ignore totalement) . Et elles essaient ensuite de régler ce problème avec la seule approche qu'elles connaissent: la publicité. C'est proche du  "quand on est un  marteau, on voit tous les problèmes comme des clous".
  • La publicité, c'est connu de tous et c'est facile à comprendre. Nous en voyons régulièrement à la télé et tous peuvent avoir une opinion là-dessus. C'est sexy. Les autres P (produits, prix, distribution/placement) sont beaucoup plus abstraits. "On n'achète pas ce que l'on ne connait pas".
  • Certaines marques sont se vraiment créées avec de la publicité (iogo, Pepsi au Québec, etc.). Mais avouez que ce sont des exceptions. Le problème est que les agences flashent ces entreprises comme des cas pouvant être appliqués à tous vs ce qu'ils sont vraiment "des anomalies". C'est pour moi pas loin de la médecine anecdotique: "ma vieille tante ayant fumé toute sa vie est morte à 95 ans en buvant du jus vert" (pour une personne comme ça, il y en a 999 autres qui ont subies la loi de la moyenne avec les statistiques propres à la maladie).
Le problème avec les discussions sur la notoriété est que c'est typiquement un dialogue de sourds. Il y a une incompréhension totale entre "les publicitaires" et les "montre moi le ROI". C'est vraiment deux religions qui ne se parlent pas. 
La position de HaCOEUR est:
  1. La notoriété n'est pas une fin en soi. On cherche à avoir de la notoriété pour vendre plus.
  2. La notoriété est difficile à obtenir: c'est typiquement long et coûteux. Hors, le growth hacking c'est vite et rapide. 
  3. Il y a typiquement un paquets d'actions que l'on peut faire pour vendre plus (point #1) vite et rapidement (point #2). Ex: améliorer le funnel de conversion.
  4. La prestation de services globale est assurément le plus grand facteur de notoriété (v. ci-dessous).
  5. Une campagne de notoriété doit être mesurée.  Sinon, elle n'existe pas. C'est probablement plus facile que vous le pensez avec un sondage omnibus (approx. 2000 $) ou Google Consumer Survey.
Pour revenir au point #4. Allez plus loin que les marques que vous connaissez (brand recognition). Pensez aux marques que vous pourriez considérer pour un achat (le fameux top of mind). Quelles sont celles qui sont dans votre esprit principalement à cause de la publicité ? Pas tant que ça ! Exemple:
  • Je pense acheter une Honda parce que c'est fiable. 4P -> Produit. Véhicule de notoriété: bouche à oreille.
  • J'utilise Google parce que c'est le meilleur moteur de recherche. 4P -> Produit. Véhicule de notoriété: bouche à oreille et distribution.
  • Je vais chez Wal-Mart/Costco/Winner parce que c'est moins cher: 4P -> Prix.
"Oui, mais ces marques font aussi de la publicité". En effet, mais encore, avez que ce n'est pas grâce à la publicité que ces marques résonnent dans votre esprit.

Cela dit, voici le plan de match d'un growth hacker:
  1. Analyser vos données. Focusez sur l'optimisation de vos conversions et sur l'engagement si vous n'avez pas de problème d'acquisition de trafic.
  2. Vous avez peu/pas de trafic ? Le pay per click (Adwords) est typiquement la meilleure solution. Pourquoi ? C'est rapide à mettre en place, vous payez seulement pour du trafic et surtout, vous obtenez du trafic qualifié ciblé contextuellement.
  3. Vous avez fait tout cela (et même plus) et vous avez besoin de notorité ? Vous pouvez faire mieux que de la pub standard. Cela fera l'objet d'un prochain post.

Politique organisationnelle et growth hacking

11/5/2015

 
Ahhhh la politique de bureau. Plusieurs pesent contre elle, d'autres s'y amusent follement. On peut la voir comme un mal nécessaire ou ce qui a motivé la création de Dilbert.

HaCOEUR a une relation d'amour-haine avec la politique organisationnelle.

La politique interne d'une entreprise est un problème quand elle impose les mauvaises personnes pour un projet (ce qui peut se faire pour toutes sortes de raisons: récompenser quelqu'un, assurer une représentativité des divisions, etc.). C'est un ennui majeur puisqu'avoir les bonnes personnes est LE facteur clé du succès le plus important pour un projet.

Les plus pragmatiques verront la politique organisationnelle comme ce qu'elle est: la science de la gestion d'un groupe de personnes. Elle est donc un moyen d'arriver à une fin, sans évidemment tomber dans le très machiavélique "la fin justifie les moyens". 
La vision de HaCOEUR par rapport à la politique organisationnelle est de dire: "quels sont les acteurs de changements qui permettront aux projets d'avancer".
Trouver les agents de changement positifs est le plus facile. Convaincre les récalcitrants est une autre paire de manches. À cet effet, rappellez-vous la règle #1 de la diplomatie: "quels sont nos points d'intérêt communs". Construisez à partir de là et vous serez surpris des résultats.

HaCOEUR croit que la compréhension de la dynamique d'une organisation est un facteur clé dans le succès d'un projet et c'est pourquoi cela fait partie de nos éléments distinctifs.

La pauvreté qui rend intelligent

11/1/2015

 
Quand on est pauvre, il faut être intelligent. Hors c'est typiquement le problème de la grande entreprise. Les budgets (marketing) sont significatifs et il n'y a pas de vraie pressions à faire autrement. Même chose que l'an passé avec un twist ? Certainement ! Et on voit encore des aberrations comme "il faut passer le budget, sinon, il ne sera pas renouvelé". Je comprends les conséquences politiques, mais où est le ROI ?
L'approche d'un growth hacker dans ce cas serait de se dire: "on a 100 000 $, qu'est-ce qu'on aurait fait si on avait seulement 1000 $ ?"
Ça force le hamster à réfléchir et de là viennent les hacks.

C'est une démarche qui n'est pas très différente des budgets à base zéro (chaque action qui veut de l'argent doit être justifiée comme si elle n'avait jamais existée), qui sont une excellente façon de faire innover tous les départements.

L'atout que possède la grande entreprise vs les startups est de pouvoir faire les hacks de la "réflexion 1000 $" en plus d'actions à haut budget. Si ceux-ci sont toujours nécessaires évidemment...

Plogue: c'est ce qui distingue l'approche de HaCOEUR.


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